19 mars 2007
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08:02
250 km au nord de Chengdu, dans les montagnes. 2000 m d’altitude.
Luo Bo Zhaï est un village Qiang. Une des plus anciennes minorités de Chine. Nous y avons passé deux jours avec des amis de Chengdu.
Le village tout de terre et de pierre est un dédale de ruelles profondes aux murs aveugles. Chaque portes en bois donnent sur une courette privée. Au rez-de-chaussée reposent les bêtes –aux choix : cochons, chevaux, chèvres, ou bœufs-. Quelques marchent abruptes donnent sur l’habitation ainsi isolé du froid du sol. Les murs sont hauts, coiffés de fagots protégeant de l’eau et des intrus.
Toutes nos ballades furent accompagnées des enfants du village.
Ils nous ont guidés dans le labyrinthe du village, dans la montagne leur terrain de jeux.
Les champs se cultive à l’ancienne. Les Bœufs ou les chevaux, tirent la charrue. Les parents les enfants sont à l’œuvre….
On va chercher l’eau à la fontaine, et elle coule sans mal : Le sommet voisin juste au-dessus de nous -quatre cent mètres a vol d’oiseau- culmine à 4900m.
Ici il n’y a d’électricité que le soir. La télé est présente, mais il n’y a ni gaz, ni chauffage, ni eau courante. La cuisine se fait au feu. Le dit feu est sous le Wok. Le dit Wok fait un bon 80cm de diamètre est encastré dans la paillasse at vitam. La dite paillasse, n’en déplaise à Corbusier, est à 70 cm du sol –et pas 83 cm- : bien !
Le soir nous avons dîné chez l’habitant, repas local autour du feu… Bonne cuisine, du gras comme il en faut par l’hivers qui court. Un vieux avec sa pipe nous cause, on comprend pas bien grand chose, de notre coté aussi les questions ne manquent pas. Il y a un peu de frustration à ne pas pouvoir l’interroger vraiment, mais l’ambiance est mystique.
Luo Bo Zhaï est un village Qiang. Une des plus anciennes minorités de Chine. Nous y avons passé deux jours avec des amis de Chengdu.
Le village tout de terre et de pierre est un dédale de ruelles profondes aux murs aveugles. Chaque portes en bois donnent sur une courette privée. Au rez-de-chaussée reposent les bêtes –aux choix : cochons, chevaux, chèvres, ou bœufs-. Quelques marchent abruptes donnent sur l’habitation ainsi isolé du froid du sol. Les murs sont hauts, coiffés de fagots protégeant de l’eau et des intrus.
Toutes nos ballades furent accompagnées des enfants du village.
Ils nous ont guidés dans le labyrinthe du village, dans la montagne leur terrain de jeux.
Les champs se cultive à l’ancienne. Les Bœufs ou les chevaux, tirent la charrue. Les parents les enfants sont à l’œuvre….
On va chercher l’eau à la fontaine, et elle coule sans mal : Le sommet voisin juste au-dessus de nous -quatre cent mètres a vol d’oiseau- culmine à 4900m.
Ici il n’y a d’électricité que le soir. La télé est présente, mais il n’y a ni gaz, ni chauffage, ni eau courante. La cuisine se fait au feu. Le dit feu est sous le Wok. Le dit Wok fait un bon 80cm de diamètre est encastré dans la paillasse at vitam. La dite paillasse, n’en déplaise à Corbusier, est à 70 cm du sol –et pas 83 cm- : bien !
Le soir nous avons dîné chez l’habitant, repas local autour du feu… Bonne cuisine, du gras comme il en faut par l’hivers qui court. Un vieux avec sa pipe nous cause, on comprend pas bien grand chose, de notre coté aussi les questions ne manquent pas. Il y a un peu de frustration à ne pas pouvoir l’interroger vraiment, mais l’ambiance est mystique.